Seigneur Thomas, des Lions de Guerre
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Lions de Guerre

Seigneur Thomas d'Aubessagne


Je m'appelle Thomas et je suis né sur les terres du Dauphiné qui sont maintenant rattachées au royaume de France depuis 1349.
Je suis le fils d’une noble famille qui fait partie de la cour du Seigneur Armands, ce dernier appartenant à la puissante famille de Saint Jacques en Valgaudemar, propriétaire du château des Herbeys depuis moins d’un siècle.

Âgé de tout juste 7 printemps, on me confia à des gens qui devaient faire de moi un gentil homme, en m’apprenant à lire, écrire, compter, les bonnes manières et surtout à savoir faire la guerre.
Durant des années, j’apprenais les gestes qui allaient me permettre de survivre au combat, les répétant jusqu’à l’épuisement jour après jour afin de m’aguerrir et de rester en vie le plus longtemps possible.
C’est ainsi, que bien des années après, je suis enfin prêt pour partir à la guerre et accomplir de nombreux et valeureux faits d’arme.

En 1369, peu avant Pâques, on me confie une compagnie d’hommes et le titre honorifique de Capitaine pour aller prêter main forte à la ville Gap alors ravagée et pillée par l'armée de la Comtesse de Provence. Je vais devoir faire honneur à mes couleurs et à mon blason maintenant !

Et puis un jour, une missive du Roi de France me dit que je suis réquisitionné pour aller défendre le Royaume contre l'avancée de l'ennemi. Sans tarder je fais préparer hommes et matériel pour me mettre en route le plus rapidement possible et pour rejoindre le gros des troupes qui campe aux environs de Grenoble.

Arrivé à la bataille contre l'Anglois, je suis envahie par la peur tellement l’ampleur de l’armée Anglaise dépassait ce que je m’étais imaginé. Le bataille allait être difficile, très difficile…
Au combat, j’ai pourfendu d’un seul coup d’épée les deux jambes d’un Gallois aussi haut qu’un cheval, ce qui me valu le surnom de « Bûcheron ».
Pendant la bataille, nos généraux ne sont pas capable de s'entendre pour arriver à mener une action commune et efficace et nous avons essuyé un cuisant échec !

Humilié par la défaite, je me suis juré devant Dieu que je me vengerais de l’affront que vient de nous infliger l’armée Anglaise, et c’est ainsi que je pars vers d’autres conflits, bien décidé à honorer ma promesse !
Entre 2 guerres, il me faut gagner de l’argent pour entretenir mes chevaux, mes soldats et mon armure. C’est pourquoi je participe à tous les tournois qui sont organisés et dont j’ai ouïe dire, afin de remporter la solde alloué au vainqueur, mais aussi pour la notoriété et la popularité qui va au vainqueur.

Un jour, alors que je me rendais sur un tournoi et que j’étais perdu, je demandais mon chemin à un homme, vraisemblablement un bourgeois ou noble. Ce dernier m’indique la direction et me demande si je vais participer au tournoi. Je lui répond que oui, c’est bien mon intention. Il me demande la permission de m’accompagner de se mettre à mon service en tant qu’écuyer.

Les chemins se font de plus en plus longs pour guerroyer, mon armure de plus en plus pesante, un coup de main ne serait pas de trop. Je fini par répondre favorablement à Louis de Ventabren qui depuis me suit et m’accompagne sur les routes du Royaume de France à la conquête de gloire et de richesse, que ce soit en tournoi ou à la guerre.